Le Centre Notre-Dame-de-Fatima perd un grand ami

COMMUNIQUÉ – C’est avec une très grande tristesse que l’équipe du Centre Notre-Dame-de-Fatima a appris le décès de l’abbé Paul Leboeuf. L’homme, que les employés du Centre définissent comme dévoué, généreux et sage, nous a quitté tout récemment.  

Paul Leboeuf a grandement contribué aux différents succès du Centre Notre-Dame-de-Fatima dont il est le plus grand bienfaiteur. Dans les années 1960, il est devenu aumônier à la Villa Notre-Dame-de-Fatima, qui est devenue le Centre Notre-Dame-de-Fatima.

La Villa était située sur le site même du Pavillon sur le lac du Château Vaudreuil. On accueillait des élèves de l’Institut des Sourdes-Muettes à Montréal pour leur offrir un répit. À la fin des années 1970, les garçons sourds ont été admis à la Villa. En 1995, la Villa a emménagé sur le site actuel de Notre-Dame-de-l’Île-Perrot. Aujourd’hui, le Centre Notre-Dame-de-Fatima poursuit sa mission en offrant des services de camps, de répit et d’hébergement pour les enfants et les adultes en besoins particuliers.

UN PILIER

« C’était un pilier qui a eu une influence positive et marquante sur plusieurs jeunes qu’ils soient campeurs ou employés. J’ai eu la chance, comme plusieurs employés de Fatima, de le côtoyer régulièrement et de bénéficier de sa sagesse. Il nous a transmis sa grande passion. C’est une fierté de poursuivre sur le même chemin et de contribuer au développement de notre communauté et au mieux-être des personnes qu’on accueille », souligne Steven Grenier, directeur générale du Centre Notre-Dame-de-Fatima.

C’est pour rendre hommage et reconnaître l’importance de ce grand homme dans le développement de Fatima que son nom a été donné à la Fondation Paul-Leboeuf, qui soutient les services et projets du Centre Notre-Dame-de-Fatima.

EN FAMILLE

L’équipe de Fatima était réunie en lac-à-l’épaule pour réfléchir à sa planification stratégique des cinq prochaines années et pour festoyer lorsqu’elle a appris son décès. Comme l’abbé l’avait dit à une journaliste il y a quelques années :  « rien n’arrive pour rien. Il faut faire confiance même lorsqu’on ne comprend pas ce qui se passe ».

« Nous avons été tellement proches de lui, qu’il serait difficile pour nous de ne pas voir un signe dans cette situation. On aime penser que notre ami Paul avait confiance en nos orientations pour l’avenir du Centre et qu’il a tiré sa révérence en nous faisant une dernière petite blague, mais en nous permettant de vivre notre peine en famille et de nous soutenir », confie Steven Grenier.

« Nous offrons nos sincères sympathies à sa famille, ses amis ainsi que tous ceux qui ont croisé son chemin. Comme vous, nous partageons votre peine et chérissons plusieurs beaux souvenirs de l’abbé Paul Leboeuf », conclut Steven Grenier.

 

 

 

 

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